Marie-Adeline, il y a donc longtemps, tu me questionnais : pourquoi es-tu français, papa ? Tu tiens, à présent, ma réponse : « je ne le suis que par la francophilie de mon père ». Lui-même, il faut le dire, n’a jamais songé à le devenir, sans doute
Marie-Adeline, il y a donc longtemps, tu me questionnais : pourquoi es-tu français, papa ? Tu tiens, à présent, ma réponse : « je ne le suis que par la francophilie de mon père ». Lui-même, il faut le dire, n’a jamais songé à le devenir, sans doute