J’ai le plaisir de partager les premières pages de la communication que je prononcerai lors du Séminaire international organisé par l’Académie des Sciences, des Arts, des Cultures d’Afrique et des Diasporas Africaines (ASCAD), qui aura lieu du 27 au 29 novembre 2024, à Abidjan, Côte
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Hegel et Cabral
Penser, à nouveau, les pensées de Cabral, au travers d’œuvres majeures de deux grands penseurs : La phénoménologie de l’esprit de Hegel, paru en 1804, et le Discours de la servitude volontaire ou Contr’un du jeune Étienne de La Boétie, rédigé en 1548, l’auteur n’a
Mitterrand sur la mort de Cabral
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Hommage à António Monteiro Mascarenhas, ancien Président de Cabo Verde
Car il peut servir de modèle universel à ce que doit être tout Président d’une République digne ; d’une République, dis-je, dont le titre n’est ni usurpé et moins encore emprunté par commodité, comme le sont de nos jours maintes « républiques ». Aussi, par
Pourquoi Cabral se nomme t-il Amilcar ?
Le temps est venu, quarante-trois ans après son assassinat, de comprendre et expliquer Amílcar Cabral, père de l’indépendance caboverdienne et bissau-guinéenne, coproducteur de l’Angola libre et, comment donc l’oublier, l’un des promoteurs de la Deuxième République portugaise.
Arbre et Temps
Poïétique du Souvenir et itinéraire À Pustine, toujours ! J’irai à Beauregard admirer cet été, L’arbre qui aveugle de tristesse, Avant qu’il ne promette aux ailes du vent Son éphémère de feuilles mortes Et ne tende sur le sol mûrit au soleil Son annuel linceul
La Sodade a élu une patrie
À Marie-Françoise, ma petite sœur Pareil au lent voilier du ciel, l’albatros à la large envergure, Recherchant après maintes courses dans l’impassible Éther La paix ventée des récifs ou l’ondulante joie des mers poissonneuses, C’est léger et glissant sur les airs du violon et du
Que disent les mornas ?
Poème à lire sur fond musical de « Rapsódia de Mornas » du guitariste capverdien Humbertona. À Lucette, la sœur aînée Que disent les Mornas, Lorsque sur le bleu des sodades ondulées, Comme pour épouser l’évanescente fiancée du Temps, Vont solitaires les barques du