Hommage à Marcelle Ouegnin
Pauvre Défà, du profond de ta douleur, combien pleurons-nous avec toi, ta mère. Nous l’aimions tant ! Marcelle était Belle, parmi les grandes beautés, semblables aux Signares que décrit le poète-président dans « Chants pour Signares » (in Nocturnes). Et si ces poèmes n’avaient pas été composés en 1945 et remaniés en 1961, nous eûmes dit qu’elle avait servi de modèle à Senghor. Elle avait de sublimes yeux, qui aménageaient un regard frappant.