Discours pour le 38e anniversaire de l’indépendance du Cap-Vert
Mesdames et Messieurs,
Amilcar Cabral (D.R)
Après avoir visionné Cabralista, l’excellent et si instructif documentaire de Valério Lopes, les organisateurs de cette manifestation, Jean-Gabriel Pina Lopez et Jean-René Fortes, me demandent d’introduire Mme le professeur Maria Benedicta Basto de l’Université de Paris IV Paris-Sorbonne. Ce fut, et je dois le dire, avec un grand bonheur que je l’ai découverte, il n’y pas si longtemps de cela, lors d’une conférence à l’Unesco dont j’étais le modérateur. À cette occasion, Mme Maria-Benedicta Basto, portugaise d’origine, a surpris son auditoire non seulement par la qualité de ses analyses sur Amilcar Cabral, mais également par sa modestie. Et c’est avec plaisir que je la retrouve, ce soir et ici, sur cette péniche, îlot en bordure de Seine, pour célébrer le 38ème anniversaire de l’Indépendance du Cap-Vert comme République. Elle entend nous instruire du « paradigme agricole chez Amilcar Cabral ».