Poème Madère-sur-vigne
Poème écrit en hommage à mon père et pour son vin…
Heidegger et Pessoa
Cet article a été publié, en début de semaine, par LusoJornal, l’hebdomadaire de référence de la diaspora portugaise en France : https://lusojornal.com/2018/10/26/opinion-heidegger-et-pessoa/. ————————- Le titre de cet article résonne étonnamment : Heidegger et Pessoa ! En effet, il indique un lien, alors qu’il n’y
Heidegger : lectures équivoques de Saint-Augustin et de Saint Paul
Je partage avec vous le deuxième volet de mon dernier ouvrage consacré à Saint-Augustin.
Saint-Augustin : entre mémoire et souvenir
Je partage avec vous l’avant-propos de mon dernier essai. Vous pouvez en lire des extraits ci-après ou en cliquant sur ce lien.
Poème : São Vicente de Cabo Verde
Je partage avec vous mon dernier poème intitulé São Vicente de Cabo Verde. Vous pouvez aussi le consulter en cliquant sur ce lien.
Léon M’ba, entre Aimé Césaire, Frantz Fanon et Anacharsis Cloots
Le 14 décembre dernier, dernière journée de l’Exposition Léon M’ba dans les locaux de l’Ambassade du Gabon en France, j’ai prononcé une communication qui a repris, de manière totalement inédite, la signification historique et le sens politique de la pensée universelle et de la praxis
Parution : Eugénio Tavares, poésie et créole
Je partage avec vous la parution de mon nouvel ouvrage, Eugénio Tavares : poésie et créole. Une des premières références francophones sur notre grand poète et écrivain caboverdien. Pedro Cardoso, dans un vers sublime et de toute beauté, a dit d’Eugénio Tavares qu’il eut «
Poésie et créole chez Eugénio Tavares
Quelques jours avant le 150e anniversaire d’Eugénio Tavares, je partage avec vous l’avant-propos de mon dernier ouvrage intitulé Poésie et créole chez Eugénio Tavares.
Postface à « En recevant Godot »
J’ai postfacé le livre d’un vieil ami, Tiburce Koffi, intitulé : « En recevant Godot », qui est une pièce de théâtre. Je vous invite vivement à lire son ouvrage. ———- Naître, cependant n’être pas. Se tenir entre naissance et existence. Hors la mort. Alors attendre !